Au Mozambique, Céleste grandit difficilement

Céleste, 2 ans, vit avec ses parents à Boane, dans la banlieue de Maputo, la capitale du Mozambique.

Très vite après la naissance, la maman de Céleste se rend compte que sa fille a un problème : un jour, alors qu’elle lui donnait son bain, la petite s’est arrêté de respirer un moment… Que se passait-il ? La maman s’est précipitée avec l’enfant à l’hôpital de Matola, tout proche de son domicile. Là-bas, les médecins n’ont rien détecté d’anormal. Mais dans les semaines suivantes, l’enfant a perdu du poids, elle n’arrêtait pas de maigrir !

Encore plus inquiète, sa maman décida de repartir à l’hôpital pour des examens plus approfondis. Cette fois, les médecins lui ont diagnostiqué une grave malformation du cœur et l’ont référé à l’Institut du Cœur (ICOR) de Maputo, notre hôpital partenaire qui prend en charge les enfants atteints de graves pathologies cardiaques.

Aidez-nous à inscrire Céleste au programme opératoire

Céleste souffre d’une rare malformation du cœur, très complexe ; elle est née avec ce qu’on appelle une “transposition des gros vaisseaux”. Cette anomalie perturbe la circulation du sang. La survie de Céleste est un premier miracle ! Habituellement, les enfants atteints de cette pathologie doivent se faire opérer durant les premiers jours de vie. Il y a urgence à agir car la fillette s’essouffle un peu plus chaque jour ! Nous avons besoin de votre aide pour accomplir un second miracle : opérer Céleste à cœur ouvert pour lui permettre de connaître une croissance harmonieuse et un avenir sans souffrances.

Très prochainement, notre ami le Dr Régis Gaudin, chirurgien cardio-pédiatrique, et son équipe de l’Hôpital Necker-Enfants malades de Paris seront à l’ICOR, à Maputo pour opérer une quinzaine d’enfants. Une chance vitale pour Céleste ! Nous pouvons l’ajouter au programme opératoire, mais l’intervention qui la sauvera représente un coût incompressible : 8 000 euros.

Une opération trop coûteuse pour les parents

La maman de Céleste ne travaille pas et son père est maçon. Son maigre salaire lui permet à peine de faire vivre sa famille, ils vivent dans une maison en parpaings avec toit en tôle, sans eau courante ni électricité. Dans ces conditions, comment leur demander de participer aux frais de l’intervention ? Ils n’ont plus que vous pour espérer.

Ensemble, sauvons-la !