Des nouvelles d’Asséta
Asséta peut enfin croire en l’avenir !
Originaire du Burkina Faso, la petite Asseta souffrait d’une grave pathologie cardiaque.
À Ouagadougou, pour les équipes du CHU de Tengandogo, soutenues par La Chaîne de l’Espoir, une seule solution pouvait la sauver : venir en France pour se faire opérer au plus vite. Ce voyage lui a sauvé la vie !
« Nous avons accueilli Asseta durant un mois et demi à Nantes où elle a été opérée. Nous sommes très heureux d’avoir contribué à sa renaissance. Elle est arrivée très fatiguée et effrayée, elle est repartie regonflée à bloc. Elle a repris du poids, elle grandit et va à l’école. Aujourd’hui, elle a cinq ans, elle va bien et la vie s’offre à elle ! » Pascale Girard-Louault, famille d’accueil
Sans une opération en France, Asséta ne pourra pas survivre
Asséta a 4 ans et demi. Elle est née au Burkina Faso avec une grave maladie cardiaque.
Cette petite fille très calme a une vie bien différente de celle des autres enfants… Il y a un an, sa grand-mère a remarqué qu’elle ne jouait pas beaucoup avec ses camarades. Elle se plaignait souvent de maux de ventre, s’essoufflait vite. Asséta se trouvait souvent isolée. C’est lors d’un examen médical que les médecins ont diagnostiqué une grave malformation cardiaque de naissance… Asséta souffre d’une « Tétralogie de Fallot ».
Cette maladie est connue sous le nom de « maladie bleue » car les enfants qui en souffrent présentent souvent une teinte bleutée autour des lèvres et au bout des doigts. Pourquoi ? Car cette maladie entraîne une mauvaise circulation du sang, le sang non oxygéné se répandant dans l’organisme. La petite fille est donc constamment essoufflée
Sans intervention, Asséta va s’épuiser lentement…
Le voeu de sa grand-mère : une opération pour la sauver
Asséta vit chez sa grand-mère au Burkina Faso. Elle l’élève seule suite au départ précipité de la maman d’Asséta. Elle garde évidemment espoir pour sa petite fille et souhaite de tout cœur la sauver, lui offrir une vie comme les autres enfants, lui permettre de jouer comme les autres.
Une solution existe !
Au Burkina Faso, les infrastructures de santé sont insuffisantes pour les pathologies complexes comme celle dont souffre Asséta. De plus, accéder aux soins est extrêmement difficile pour les plus démunis. Asséta doit donc être opérée en France. Une équipe peut l’opérer au CHU de Nantes et une famille d’accueil est disponible pour l’accompagner tout le temps de sa prise en charge.
Mais le coût de cette intervention empêche Asséta d’avoir une nouvelle vie. La grand-mère d’Asséta ne peut pas couvrir les frais de l’opération. Il nous faut, ensemble, réunir 10 000 €.