L’amputation de Gadiel peut encore être évitée !
Il y a quelques mois encore, les médecins en République du Congo envisageaient de l’amputer d’une jambe jusqu’à la cuisse.
Aujourd’hui, Gadiel, jeune Congolais de cinq ans, remarche et sa jambe, hier nécrosée, est sauvée. Entre les deux, c’est toute une chaîne de solidarité qui a relié le Congo à la France : vous, donateurs de La Chaîne de l’Espoir qui avez rendu possible sa venue en France ; les médecins de l’Hôpital Trousseau à Paris qui l’ont opéré à trois reprises pour redresser sa jambe, touchée par un pied bot ; et la famille d’accueil qui l’a hébergé et soutenu pendant son hospitalisation et sa rééducation.
« Pendant son séjour, Gadiel a guéri de sa jambe, mais il s’est aussi ouvert au monde et aux autres. Il a vécu des expériences qui l’ont transformé pour le meilleur » Berenice Launay, “maman d’accueil” de Gadiel
Sa jambe ne peut être sauvée qu’en France !
Au Congo, Gadiel est un jeune garçon de 5 ans souffrant d’une malformation de la jambe avec un pied bot.
Il vit à Brazzaville avec ses parents. Récemment encore, il pouvait faire quelques pas mais très difficilement, en s’appuyant sur ses orteils ou sur la tranche de la plante des pieds. Malheureusement, en tentant d’avancer ainsi douloureusement, il a provoqué une grave escarre, une plaie cutanée profonde, qui est apparue au niveau des zones d’appui trop prolongées.
Hélas, tout cela cause des douleurs constantes, qui deviennent insupportables et qui l’empêchent de vivre comme les petits garçons de son âge. Pire, son handicap a entraîné sa déscolarisation, l’isolant encore un peu plus des autres enfants.
Aujourd’hui, Gadiel ne marche plus. En raison du manque d’infrastructures au Congo, les chirurgiens n’ont qu’une seule option : amputer la jambe du petit garçon.
En mobilisant les meilleurs spécialistes de l’hôpital Trousseau à Paris, Gadiel peut pourtant éviter l’amputation et se relever !
Mais il ne pourra être opéré qu’en France !
Malgré l’engagement de nombreux bénévoles de notre Chaîne de solidarité pour permettre la venue de Gadiel en France, 10 000 euros seront nécessaires pour mettre le petit garçon debout. Les parents de l’enfant sont dans l’impossibilité de payer une telle somme, qui représente plusieurs années de salaire au Congo.
Ensemble, mobilisons-nous pour permettre à Gadiel de se relever !
Créons une grande Chaîne depuis Brazzaville jusqu’à Paris pour lui permettre d’avoir accès aux soins indispensables pour qu’il puisse remarcher : soigner son escarre avant de l’opérer à 2 reprises, pour redresser son pied et ensuite sa jambe.
Faire un don pour les autres enfants comme Gadiel